Quel rapport contestent déjà les runners au nez qui coule? On vous explique tout cela, ne vous inquiétez pas, cela va bien se passer!
Le sport en général et le running en particulier, c'est bon pour a santé et ça booste l'immunité vocifère Arthur (hélas sur la touche en raison d'un TFL tu connais) ... Si le postulat de départ est juste, le dévoiement rôde toujours avec les apparatchiks du running-ment korekt.
Non, le running ne fait pas que du bien au XXIème siècle! Entre deux névroses 2.0 et les dégâts physiques d'une pratique mal maitrisée, la course à pied se fait de plus en plus délétère pour les zébulons du "moi je regardez moi (selfie, capture garmin et pathos niais à la vocation inspirante ...).
Bref, le runner est fragile.
Mental et physique en symbiose obscure vers la maladie, le trouble et autre cohorte hostile à l'intégrité.
Malmené par lui-même via ses gesticulations vaines quoique riches en crypto-reconnaissance creuse et galvaudée et ses kilomètres enquillés à la va-comme-je-te-pousse (porté par une foulée sur la quelle on se refusera ICI tout commentaire), le runner est un sujet à risque et largement triple-dosé!
Fatigué par une longue et chaotique année de pratique sanctionnée par 12 bilans mensuels @strava et sa cerise sur le gâteau annuelle, le runner apparait malade. Nous l'espérons à l'isolement ... quarantaine réelle et numérique, surtout!
Donc.
Parce-qu'il galvaude et dévoie le beau, le bon et le juste, le runner mute le préventif en risque, le mens sana in corpore sano en pathologie globale.
Le nouveau variant est numérique et s'infiltre entre les touches de vos claviers, les gouttelettes sont autant d'octets d'insignifiance et d'indigence propulsés dans vos lieux-clos de l'entrisme (les fameux groupes de running trop inspirants, solidaires et BIENVEILLANTS sur lesquels ça se battle à coup d'impudeur creuse pour quelques pouces bleus, la dech') ...
Aérez-vous un peu les gars, vous toussez!
Comments